Ventes d’habitations existantes au Canada (mai) – ralentissement printanier
-
Signet
-
Imprimer
- Mots-clés :
Une correction de l’immobilier résidentiel canadien est en cours dans plusieurs marchés, et un été long et froid nous attend probablement. En mai, les ventes de maisons existantes ont reculé de 8,6 % après désaisonnalisation, ce qui représente une baisse considérable de 21,7 % par rapport à il y a un an. Les ventes sont maintenant revenues aux niveaux d’avant la pandémie de COVID-19, après avoir dépassé d’environ 30 % ces niveaux au cours des 18 mois précédant mars. Les nouvelles inscriptions ont augmenté de 4,4 % au cours du mois, ce qui a fait passer l’offre mensuelle de maisons à vendre à 2,7 – ce niveau demeure peu élevé, mais les stocks s’accumulent, le ratio ventes-nouvelles inscriptions ayant plongé à 57,5 % (le plus bas depuis le début de 2019). Dans ce contexte, le prix de référence national a reculé de 0,8 % (après désaisonnalisation) au cours du mois, avec un ralentissement à 19,8 % sur 12 mois contre 23,6 % sur 12 mois le mois précédent. De plus, le prix moyen n’a augmenté que de 3,4 % sur 12 mois, soit une baisse de 11 % par rapport au sommet de février.
À l’échelle régionale, l’analyse de l’équilibre du marché révèle certaines différences. Par exemple, Toronto refroidit, mais les banlieues refroidissent encore plus rapidement, tandis que les banlieues excentrées (comme London, Woodstock et Barrie) connaissent les changements les plus marqués. Le ratio ventes-nouvelles inscriptions pour l’ensemble de l’Ontario est passé sous la barre des 50 %, un niveau que nous n’avons vu que pendant la récession de 2009 et les jours sombres du début des années 1990. Pour ce qui est des autres régions, les choses demeurent relativement tendues en Alberta, malgré la stagnation des prix, tandis que Vancouver, Ottawa et Montréal se situent entre les deux extrêmes.
L’ère de la demande excédentaire est maintenant derrière nous, et nous allons le répéter une dernière fois, car la plupart des intervenants, y compris la Banque du Canada, semblent maintenant l’avoir accepté : cette demande excédentaire marquée était attribuable à certains changements liés au travail/au mode de vie, à des taux d’intérêt réels très négatifs et à une psychologie du marché traditionnelle.
Les choses changent rapidement :
Taux d’intérêt : nous sommes passés d’un marché où les taux hypothécaires étaient d’environ 1,5 % (d’abord fixes, puis variables) à un marché où les taux fixes de 5 ans se situent à près de 5 % et où les taux variables sont en voie d’atteindre 4 % à 4,5 % d’ici la fin de l’année. À la fin de l’été, toutes les retenues de taux encore favorables seront disparues et cette nouvelle réalité en matière de taux d’intérêt sera bien ancrée. En même temps, les simulations de crise sont maintenant menées bien au-delà du niveau de 5,25 % précédent pour les prêts hypothécaires à taux fixe (le taux contractuel plus 200 pdb approche maintenant les 7 %); ils dépasseront bientôt ce niveau dans le segment des prêts à taux variable, et il semble que les prêteurs privés se retirent. Nous croyons toujours que la tarification est déterminée par le taux réellement payé, et non par le calcul en arrière-plan, mais la modification de ce dernier est un autre changement notable sur le marché hypothécaire.
Psychologie : les Canadiens s’attendaient généralement à ce que les prix des maisons continuent d’augmenter, ce qui a attiré des investisseurs et des acheteurs de propriétés multiples, tout en poussant de nombreux ménages à passer à l’action de peur de rater une occasion – la plus récente Revue du système financier de la Banque du Canada l’a même expliqué en détail. Cependant, dès le premier coup donné par la Banque aux taux d’intérêt, les attentes du marché ont commencé à s’effriter. Selon un sondage hebdomadaire de Nanos, moins de 44 % des répondants s’attendent maintenant à une augmentation des prix au cours de l’année à venir, ce qui représente une baisse par rapport aux sommets de plus de 64 % au début de l’année (la norme avant la pandémie de COVID-19 était d’environ 40 %). Dans un même temps, 23 % des répondants s’attendent maintenant à une baisse des prix, contre moins de 6 % (pratiquement personne) au début de l’année (la norme avant la pandémie de COVID-19 était d’environ 15 %). Nous avons longtemps soutenu qu’il était essentiel de briser la psychologie du marché pour rétablir les conditions, et il semble que ce soit maintenant chose faite.
En conclusion : la correction est en cours et les prix subiront probablement des pressions l’an prochain. Tôt ou tard, des facteurs fondamentaux comme la démographie et la hausse des coûts de construction établiront un seuil pour le marché de la revente, en particulier dans les endroits plus favorables, mais il faudra du temps et une certaine découverte des prix pour absorber le choc des taux d’intérêt.
Dans une autre publication, les mises en chantier au Canada ont atteint un nombre considérable de 287 300 unités annualisées en mai. Les moyennes sur trois et six mois (267 000 et 254 000) sont toujours solides sur le plan historique; le Canada construit le plus grand nombre de maisons jamais enregistré depuis les années 1950, ce qui correspond environ au boom des années 1970 sur une base par habitant. En termes simples : le Canada ne peut simplement pas construire plus qu’il le fait déjà. Le taux de chômage dans le secteur de la construction est près du niveau le plus bas jamais atteint; les postes vacants dans ce secteur ont atteint un sommet record; des pénuries de matériaux persistent dans certaines régions; et les salaires plus élevés sont la norme. Cela dit, les constructeurs sont dans une situation difficile en raison de la vitesse à laquelle les coûts ont augmenté – les projets vendus l’an dernier coûtent probablement beaucoup plus cher à réaliser que prévu. Et comme la demande est malmenée par la hausse des taux d’intérêt, il ne faut pas s’étonner si les mises en chantier baissent l’an prochain, certains projets en cours de planification ne se concrétisant pas.
Table 1 - Canada — Ventes de maisons existantes
(% de variation)
Mars 2022 |
Ventes d’un mois à l’autre1 |
Ventes sur 12 mois |
Cumul pour l’année en cours |
Prix sur 12 mois |
Prix depuis le début de l’année |
---|---|---|---|---|---|
Canada |
-8.6 | -21.7 | -17.8 | 3.4 | 11.5 |
Halifax |
-1.1 | -5.4 | -25.7 | 22.2 | 26.6 |
Ottawa |
-11.1 | -19.3 | -13.2 | 7.5 | 11.5 |
Montréal |
-1.1 | -9.0 | -15.0 | 11.9 | 14.2 |
Toronto |
-9.3 | -39.1 | -30.7 | 9.4 | 18.8 |
Vancouver |
-18.4 | -32.2 | -23.5 | 8.5 | 12.3 |
Winnipeg |
-2.5 | -12.1 | -21.8 | 16.4 | 14.9 |
Calgary |
-15.9 | -0.8 | 25.3 | 3.8 | 7.4 |
Edmonton |
-7.2 | 1.7 | 12.6 | 1.3 | 5.1 |
Regina |
7.6 | 9.0 | -3.3 | 1.7 | 1.4 |
Indice MLS des prix des propriétés (national) |
19.8 |
26.5 |
|||
1(résultats désaisonnalisés) |
Source: BMO Economics, Haver Analytics, CREA
Table 2 - Canada — Mises en chantier
(milliers d’unités : taux annuels)
|
Mai |
Avril |
Mars |
Moy. sur 12 mois. |
Il y a un an |
---|---|---|---|---|---|
Mises en chantier |
287.3 | 265.7 | 248.5 | 261.5 | 284.0 |
(variation mensuelle en %) |
8.1 | 6.9 | -1.7 | ||
Individuelles urbaines |
63.0 | 65.4 | 66.3 | 60.8 | 65.8 |
Résidences multifamiliales |
201.2 | 178.5 | 156.8 | 174.7 | 188.5 |
Canada Atlantique |
23.7 | 9.6 | 14.0 | 12.9 | 18.8 |
Québec |
71.1 | 66.5 | 70.6 | 65.7 | 67.1 |
Ontario |
93.7 | 82.6 | 88.9 | 92.8 | 101.5 |
Manitoba et Saskatchewan |
12.1 | 14.6 | 10.0 | 12.1 | 13.8 |
Alberta |
46.5 | 40.3 | 32.4 | 33.8 | 36.2 |
Colombie-Britanique |
40.2 | 52.1 | 32.6 | 44.2 | 46.6 |
Source: BMO Economics, Haver Analytics
Déclarations de divulgation importantes (en anglais seulement)
Robert Kavcic s’est joint à la Banque de Montréal en 2006. Il joue un rôle clé dans l’analyse des tendances économique…(..)
Voir le profil complet >Une correction de l’immobilier résidentiel canadien est en cours dans plusieurs marchés, et un été long et froid nous attend probablement. En mai, les ventes de maisons existantes ont reculé de 8,6 % après désaisonnalisation, ce qui représente une baisse considérable de 21,7 % par rapport à il y a un an. Les ventes sont maintenant revenues aux niveaux d’avant la pandémie de COVID-19, après avoir dépassé d’environ 30 % ces niveaux au cours des 18 mois précédant mars. Les nouvelles inscriptions ont augmenté de 4,4 % au cours du mois, ce qui a fait passer l’offre mensuelle de maisons à vendre à 2,7 – ce niveau demeure peu élevé, mais les stocks s’accumulent, le ratio ventes-nouvelles inscriptions ayant plongé à 57,5 % (le plus bas depuis le début de 2019). Dans ce contexte, le prix de référence national a reculé de 0,8 % (après désaisonnalisation) au cours du mois, avec un ralentissement à 19,8 % sur 12 mois contre 23,6 % sur 12 mois le mois précédent. De plus, le prix moyen n’a augmenté que de 3,4 % sur 12 mois, soit une baisse de 11 % par rapport au sommet de février.
À l’échelle régionale, l’analyse de l’équilibre du marché révèle certaines différences. Par exemple, Toronto refroidit, mais les banlieues refroidissent encore plus rapidement, tandis que les banlieues excentrées (comme London, Woodstock et Barrie) connaissent les changements les plus marqués. Le ratio ventes-nouvelles inscriptions pour l’ensemble de l’Ontario est passé sous la barre des 50 %, un niveau que nous n’avons vu que pendant la récession de 2009 et les jours sombres du début des années 1990. Pour ce qui est des autres régions, les choses demeurent relativement tendues en Alberta, malgré la stagnation des prix, tandis que Vancouver, Ottawa et Montréal se situent entre les deux extrêmes.
L’ère de la demande excédentaire est maintenant derrière nous, et nous allons le répéter une dernière fois, car la plupart des intervenants, y compris la Banque du Canada, semblent maintenant l’avoir accepté : cette demande excédentaire marquée était attribuable à certains changements liés au travail/au mode de vie, à des taux d’intérêt réels très négatifs et à une psychologie du marché traditionnelle.
Les choses changent rapidement :
Taux d’intérêt : nous sommes passés d’un marché où les taux hypothécaires étaient d’environ 1,5 % (d’abord fixes, puis variables) à un marché où les taux fixes de 5 ans se situent à près de 5 % et où les taux variables sont en voie d’atteindre 4 % à 4,5 % d’ici la fin de l’année. À la fin de l’été, toutes les retenues de taux encore favorables seront disparues et cette nouvelle réalité en matière de taux d’intérêt sera bien ancrée. En même temps, les simulations de crise sont maintenant menées bien au-delà du niveau de 5,25 % précédent pour les prêts hypothécaires à taux fixe (le taux contractuel plus 200 pdb approche maintenant les 7 %); ils dépasseront bientôt ce niveau dans le segment des prêts à taux variable, et il semble que les prêteurs privés se retirent. Nous croyons toujours que la tarification est déterminée par le taux réellement payé, et non par le calcul en arrière-plan, mais la modification de ce dernier est un autre changement notable sur le marché hypothécaire.
Psychologie : les Canadiens s’attendaient généralement à ce que les prix des maisons continuent d’augmenter, ce qui a attiré des investisseurs et des acheteurs de propriétés multiples, tout en poussant de nombreux ménages à passer à l’action de peur de rater une occasion – la plus récente Revue du système financier de la Banque du Canada l’a même expliqué en détail. Cependant, dès le premier coup donné par la Banque aux taux d’intérêt, les attentes du marché ont commencé à s’effriter. Selon un sondage hebdomadaire de Nanos, moins de 44 % des répondants s’attendent maintenant à une augmentation des prix au cours de l’année à venir, ce qui représente une baisse par rapport aux sommets de plus de 64 % au début de l’année (la norme avant la pandémie de COVID-19 était d’environ 40 %). Dans un même temps, 23 % des répondants s’attendent maintenant à une baisse des prix, contre moins de 6 % (pratiquement personne) au début de l’année (la norme avant la pandémie de COVID-19 était d’environ 15 %). Nous avons longtemps soutenu qu’il était essentiel de briser la psychologie du marché pour rétablir les conditions, et il semble que ce soit maintenant chose faite.
En conclusion : la correction est en cours et les prix subiront probablement des pressions l’an prochain. Tôt ou tard, des facteurs fondamentaux comme la démographie et la hausse des coûts de construction établiront un seuil pour le marché de la revente, en particulier dans les endroits plus favorables, mais il faudra du temps et une certaine découverte des prix pour absorber le choc des taux d’intérêt.
Dans une autre publication, les mises en chantier au Canada ont atteint un nombre considérable de 287 300 unités annualisées en mai. Les moyennes sur trois et six mois (267 000 et 254 000) sont toujours solides sur le plan historique; le Canada construit le plus grand nombre de maisons jamais enregistré depuis les années 1950, ce qui correspond environ au boom des années 1970 sur une base par habitant. En termes simples : le Canada ne peut simplement pas construire plus qu’il le fait déjà. Le taux de chômage dans le secteur de la construction est près du niveau le plus bas jamais atteint; les postes vacants dans ce secteur ont atteint un sommet record; des pénuries de matériaux persistent dans certaines régions; et les salaires plus élevés sont la norme. Cela dit, les constructeurs sont dans une situation difficile en raison de la vitesse à laquelle les coûts ont augmenté – les projets vendus l’an dernier coûtent probablement beaucoup plus cher à réaliser que prévu. Et comme la demande est malmenée par la hausse des taux d’intérêt, il ne faut pas s’étonner si les mises en chantier baissent l’an prochain, certains projets en cours de planification ne se concrétisant pas.
Table 1 - Canada — Ventes de maisons existantes
(% de variation)
Mars 2022 |
Ventes d’un mois à l’autre1 |
Ventes sur 12 mois |
Cumul pour l’année en cours |
Prix sur 12 mois |
Prix depuis le début de l’année |
---|---|---|---|---|---|
Canada |
-8.6 | -21.7 | -17.8 | 3.4 | 11.5 |
Halifax |
-1.1 | -5.4 | -25.7 | 22.2 | 26.6 |
Ottawa |
-11.1 | -19.3 | -13.2 | 7.5 | 11.5 |
Montréal |
-1.1 | -9.0 | -15.0 | 11.9 | 14.2 |
Toronto |
-9.3 | -39.1 | -30.7 | 9.4 | 18.8 |
Vancouver |
-18.4 | -32.2 | -23.5 | 8.5 | 12.3 |
Winnipeg |
-2.5 | -12.1 | -21.8 | 16.4 | 14.9 |
Calgary |
-15.9 | -0.8 | 25.3 | 3.8 | 7.4 |
Edmonton |
-7.2 | 1.7 | 12.6 | 1.3 | 5.1 |
Regina |
7.6 | 9.0 | -3.3 | 1.7 | 1.4 |
Indice MLS des prix des propriétés (national) |
19.8 |
26.5 |
|||
1(résultats désaisonnalisés) |
Source: BMO Economics, Haver Analytics, CREA
Table 2 - Canada — Mises en chantier
(milliers d’unités : taux annuels)
|
Mai |
Avril |
Mars |
Moy. sur 12 mois. |
Il y a un an |
---|---|---|---|---|---|
Mises en chantier |
287.3 | 265.7 | 248.5 | 261.5 | 284.0 |
(variation mensuelle en %) |
8.1 | 6.9 | -1.7 | ||
Individuelles urbaines |
63.0 | 65.4 | 66.3 | 60.8 | 65.8 |
Résidences multifamiliales |
201.2 | 178.5 | 156.8 | 174.7 | 188.5 |
Canada Atlantique |
23.7 | 9.6 | 14.0 | 12.9 | 18.8 |
Québec |
71.1 | 66.5 | 70.6 | 65.7 | 67.1 |
Ontario |
93.7 | 82.6 | 88.9 | 92.8 | 101.5 |
Manitoba et Saskatchewan |
12.1 | 14.6 | 10.0 | 12.1 | 13.8 |
Alberta |
46.5 | 40.3 | 32.4 | 33.8 | 36.2 |
Colombie-Britanique |
40.2 | 52.1 | 32.6 | 44.2 | 46.6 |
Source: BMO Economics, Haver Analytics
Déclarations de divulgation importantes (en anglais seulement)
À lire ensuite
Qu’est-ce qui a vraiment changé pendant la pandémie?
Sal Guatieri | 10 juin 2022 | Perspectives Sur L’Économie
Pendant plus de deux ans, la COVID-19 a changé notre façon de travailler, d’apprendre, de magasiner et de jouer. Maintenant …
Continuer à lire>Ressources les plus récentes
Dites-nous trois choses simples pour
personnaliser votre expérience.
Commercial
-
Ce que nous sommes
-
Expertise sectorielle
- Ingénierie et construction
- Ingénierie et construction
- Agriculture
- Agriculture
- Camionnage
- Camionnage
- Secteur Public
- Secteur Public
- Immobilier Commercial
- Immobilier Commercial
- Financement aux concessionnaires
- Financement aux concessionnaires
- Services Professionnels
- Services Professionnels
- Médias
- Pétrolier et Gazier
- Distribution de Gros et de Détail
- Services bancaires au secteur Technologie
- Secteur Manufacturier
- Secteur Manufacturier
- Médias
- Pétrolier et Gazier
- Distribution de Gros et de Détail
- Services bancaires au secteur Technologie
- Commanditaires D'actions Privées
- Commanditaires D'actions Privées
- Soins de santé
- Soins de santé
- Financement de franchises
- Financement de franchises
- Biens immobiliers commerciaux
- Biens immobiliers commerciaux
- Cannabis et industries émergentes
- Cannabis et industries émergentes
-
Nous pouvons vous aider
- Stratégie d’affaires
- Stratégie d’affaires
- Crédit-bail Mobilier et Financement
- Crédit-bail Mobilier et Financement
- Gestion Des Flux De Trésorerie
- Gestion Des Flux De Trésorerie
- Perspectives Sur L’économie
- Perspectives Sur L’économie
- Mener Des Activités Commerciales Aux États-Unis
- Mener Des Activités Commerciales Aux États-Unis
- Mener Des Activités Commerciales À L’échelle Internationale
- Mener Des Activités Commerciales À L’échelle Internationale
- Financement Reposant Sur L’actif
- Financement Reposant Sur L’actif
- Services De Syndication De Prêts Et De Gestion De Prêts Syndiqués
- Services De Syndication De Prêts Et De Gestion De Prêts Syndiqués
- Financement De La Croissance
- Financement De La Croissance
- Gestion Des Risques
- Gestion Des Risques
- Fusions Et Acquisitions
- Fusions Et Acquisitions
- BMO Partenaires
- BMO Partenaires
- Gestion De Patrimoine
- Gestion De Patrimoine
- Climate Smart
- Climate Smart
-
Nos directeurs de comptes d’entreprise
Les produits bancaires doivent être approuvés et sont fournis au Canada par la Banque de Montréal, une société membre de la Société d’assurance-dépôts du Canada (SADC).
BMO Entreprises est une appellation commerciale utilisée au Canada par la Banque de Montréal, qui est membre de la Société d’assurance-dépôts du Canada (SADC).
BMO Marchés des capitaux est un nom commercial utilisé par BMO Groupe financier pour les services de vente en gros de la Banque de Montréal, de BMO Bank N.A. (membre de la FDIC), de Bank of Montreal Europe Plc et de Bank of Montreal (China) Co. Ltd., pour les services de courtage auprès des clients institutionnels de BMO Capital Markets Corp. (membre de la FINRA et de la SIPC) et les services de courtage d'agence de Clearpool Execution Services, LLC (membre la FINRA et de la SIPC) aux États-Unis, ainsi que pour les services de courtage auprès des clients institutionnels de BMO Nesbitt Burns Inc. (membre de l’Organisme canadien de réglementation des investissements , et membre du Fonds canadien de protection des épargnants) au Canada et en Asie, de Bank of Montreal Europe Plc (autorisée et réglementée par la Central Bank of Ireland) en Europe et de BMO Capital Markets Limited (autorisée et réglementée par la Financial Conduct Authority) au Royaume-Uni et en Australie, ainsi que pour les services-conseils en matière d’établissement de crédits carbone, de durabilité et de solutions pour l’environnement de Banque de Montréal, de BMO Radicle Inc., et de Carbon Farmers Australia Pty Ltd. (ACN 136 799 221 AFSL 430135) en Australie.
Le contenu des articles publiés sur ce site Web se veut un commentaire général sur le marché. Les opinions, les estimations et les projections contenues dans ces articles, le cas échéant, sont celles des auteurs et peuvent différer de celles d’autres employés et sociétés affiliées de BMO Entreprises. BMO Entreprises déploie tous les efforts pour s’assurer que le contenu du présent document est tiré de sources considérées comme fiables et que les données et les opinions sont exactes et complètes. Toutefois, les auteurs et BMO Entreprises ne sont aucunement responsables des erreurs ou des omissions et ne garantissent pas l’exactitude ou l’exhaustivité du contenu. Ces articles sont fournis à titre informatif seulement.
La Banque de Montréal et ses sociétés affiliées ne fournissent pas de conseils fiscaux, juridiques ou comptables. Ce document a été préparé à titre d’information seulement. Il ne constitue pas des conseils fiscaux, juridiques ou comptables et ne devrait pas être considéré comme tels. Vous devez consulter vos propres conseillers fiscaux, juridiques et comptables avant d’effectuer une transaction.
Les sites Web de tiers peuvent avoir des politiques de confidentialité et de sécurité différentes de BMO. Les liens vers d’autres sites Web ne constituent pas une recommandation ni une approbation de ceux-ci. Veuillez prendre connaissance des politiques de confidentialité et de sécurité des sites Web rejoints à partir des liens contenus dans les sites Web de BMO.